le 17/09/2016 à 22h: Des réponses

Je cherche pendant un petit bout de temps mais j'arrive à trouver la salle. Simple on entend des gémissements. La porte est fermé mais avec mon pass, je peux ouvrir tout les portes quand elle sont fermé de l'exterieur.
J’entrebâille la porte, mon coeur s'accélère. Je sers le couteau contre moi. J'en tremble. J'ai l'impression de sentir encore ses coups... Je prend une inspiration et j'ouvre la porte en grand. La salle est dans une pénombre presque totale avec la nuit.J'allume une petit lumière qui est là et que  je rapproche.
"tu n'en as pas eu assez, tu veux un deuxième round. T'aime ça hein sale mutante ! "
Je serre mon poing autour du couteau, je suis à quelques mètres de lui, ma voix tremble mais j'arrive à dire
"Comment vous êtes rentrez ?"
" Quand je t'entendu courir vers moi, avec ton jogging moulant, je t'ai tout de suite reconnu, je me suis dis que tu devais vraiment aimer ça, les coup !  C'est un peu noel, j'allais pouvoir reprendre ma revanche..et j'ai les prise !! bordel qu'est que cela a été plaisant de voir ton regard appeuré quand je t'ai rattrapé, et le feu d'artifice quand je t'ai vu te noyer dans la piscine..."
Mes mains tremblent beaucoup , je serre le couteau... et dans un pas décider, je m"approche et je lui met le couteau sous la gorge
"écoute moi gros lard, espèce de porc ! je vais te découper,d'égorger, d’éviscérer comme tu le mérites, et toi tu ne guérris pas..."
Je sens cette colère mélangé à la peur et la haine sur moi et dans ce couteau.. Je ne vois ses yeux à cause de la faible luminositer mais je peux entendre sa voix qui tremble
" au fond de la forêt il a un mur qui s'est écrouler..j'ai eu juste à enjamber pétasse.."
Je reste quelques minute avec le couteau sous sa gorge..quelque minute de décision..il le mérite indi...mais....je peux pas..je peux pas..
Je recule, et je sors de la pièce en fermant la porte.  
Je m'assois le long du mur dans le couloir, je lâche le couteau

Je sais pas combien de temps je reste comme ça,mais soudain je sens une truffe humide qui touche mon visage..Je relève la tête, c'est mogwaï...
Je vois dans ses yeux qu'il s'inquiete. Je lui caresse la tête..
"cette jeune panthère à perdu sa mère,tu vas prendre en soin comme tu le feras plus tard avec les mutants et les humains, toute vie est importante mon petit chat.." ce sont les mots de mon père quand il m'a mit mogwaï dans les mains...
Je repense à Marcel, qui me disait
"des gens qui manquent fortement dans se monde qui va de travers, hein ma choupette.."
et joshua...
"Tu n'es pas tes parents, et d'ailleurs ils ont tout fait pour te protéger, se serait les trahir que te mettre en danger inutilement" et il avait rajouter
"u veux me faire culpabiliser d'essayer de te protéger"
Mogwaï c'est mit contre moi, on est tout les deux dans ce couloir sombre... Je lui caresse son poil, cela à eu toujours eu un effet apaisant sur moi et je lâche
" ce type est une ordure, il ne mérite même pas la vie mais...qui suis je pour en sujet, il est un danger pour tout le monde mais je ne peux pas lu faire du mal..."
Mon regarde est perdu dans le vide
"Mes parents ont changer les choses..et moi..ce monde part à la voler...il est guerre, il souffre de ces ordures qui considèrent la vie humaine comme une option. Mogwaï, je vais rentrer en guerre pour avoir la paix..pour ces humains et ces mutants qui veulent un monde où le vivre ensemble est possible. Et pour que ces ordures ne dirige notre monde..." lachais je.. Il me donne un petit coup de tête...
Oui... je vais entrer en guerre..
Je décide de remonter dans ma chambre accompagner par ma panthère.

Ça ne vaut pas la téléportation, mais c'est quand même rapide. D'autant que je me suis pas trop mal réceptionner.
Je regarde la clé dans ma main. J'en ai pas besoin moi. Luc... sais-tu pourquoi j'ai pris la clé ?
Je rentre dans la pièce, allume la lumière. J'ouvre la porte puis la referme de l'intérieure, Indi ne pourra pas rentrer. Après ce jeu de clé, je marche, mains dans les poches vers notre gus.

[gros lard]
Peut être 20 min après que cette gamine pleurnicharde soit passer, en voila un deuxième . La lumière m'assasigne les yeux..toi mon coco, je vais pas me laisser faire !
"connard, tu peux pas prévenir !"
Je le regarde, je le reconnais...
"hey, mais tu es la fillette qui à peur du sang ! laisse moi devenir tu es le petit copain de la sale mutante ! tu es le passe muraile ! tu sais c'est vraiment bien que ta copine ne puisse pas mourir, on peut la frapper autant qu'on veut ..quand je l'ai vu arriver dans son joggin moulant sourire au lèvre, je me suis dis qu'elle allait devenir mon pushing ball préféré.."
Voilà, je vais te mettre en miette, sale mutant !
" et quand elle a crié et chouiner , c'est une  sacré chouineuse ! par contre elle bien golé mais cela n'en reste que c'est une sale mutante comme toi, et comme les autres que je vais buter un à un !"

Je m'accroupis devant lui, un léger sourire sur les lèvres, le sourire détendu, passe partout, celui des gens qui marche sur le trottoir en allant à la plage, un sourire un peu rêveur, un pu en dehors du temps...

Bien sûr que j'entends ses mots. Surement qu'ils me blesseront ce soir avant de trouver le sommeil, si je le trouve. Mais pour le moment, je joue un rôle. Parce que c'est de loin ce que je sais faire de mieux.
- Doucement monsieur, ne gaspillez pas votre salive, j'ai oublier de vous apporter d'autre eau, il serrait dommage que vous aillez soif pendant notre discussion. dis-je doucement, calmement, avec une gentillesse simulée à merveille.
Je regarde la corde qui le maintient.
- Nous avons des choses à nous dire tous les deux, mais que je vous enlève ces liens ! Nous ne sommes pas des bêtes ! dis-je avec une note de "faux" humour.
Je le détache alors.

Il est complément amorphe où quoi !!! ou il est stupide
" Tu sais que ce j'ai adoré c'est quand j'ai vu son regard apeuré quand je l'ai attrapé et assommer avec un gros caillou , elle a le crane dure !!!! tu me diras quand je lui tiré dessus et que je l'ai vu couler à pique dans l'eau, se débattre pour respirer , ça était vraiment drôle, on aurait dit un poisson qui sait qu'il va se faire bouffer.. après rien ne remplacera le coup de matraque qu'elle a reçu, cela à fait comme les dominos quand elle s'est prit le coup sur de la table ! Elle pleurait...ils sont mort bla bla..."
Allez, la cerise
"en plus comment tu fais pour être avec une fille qui a voulut te tuer , qui a enclenché le frein à main pour que toi et ton pote vous mourriez dans cette accident ! les gonzesses toutes les même ! des menthes religieuses ! !"
Si avec cela je te fais péter un cable !!! C'est que c'est un abrutis !

J'écoute pas vraiment ce qu'il dit. Aucun intérêt, je dois garder mon calme, maîtrise, sang froid, concentration. J'ai un rôle.
La voix de ma mère comme un écho du passé : Joshua, laisse-les dire. Ce qu'ils disent n'a aucune importance. Tu dois être ce que tu as décidé d'être peu importe ce que les gens autour de toi disent.
Ça y est il est détaché. Je vois qu'il n'a pas touché aux gâteaux. Je prends le paquet et lui dépose sur les cuisses, restant accroupis devant lui. Je lui souris, un sourire chaleureux et doux. Parce que je sais qui craquera le premier, et ce ne sera pas moi.

- Je ne sais pas grand chose de vous mon cher, mais comme vous êtes notre invité, tâchons de faire connaissances. En effet la charmante jeune femme est ma petite amie, vous parlez de mantes religieuses, vous êtes divorcés ? Séparés ?

Je pose mes questions d'une voix calme, toute aussi chaleureuse que mon sourire. Il est con, mais peut être pas au point de croire que moi aussi... quoi que ?

Ok,il est stupide !! tu me diras une fillette comme lui ne peut que être stupide..autre angles d'attaque
"non je m'encombre pas de bonne femme, c'est que des emmerdes ,regarde la tienne.. d'ailleurs tu étais ou, tu sais elle t'a réclamé !
dit moi,tu crois qu'on pourrait aller prendre l'air, visiter un peu cette endroit, comme tu dis je suis ton invité, et on pourrait faire un tour, faire connaissance, me dire qui sont tes potes qui vivent ici .."

Okay, c'est encore plus grave qu ce que je croyais. Il st vraiment trop con. Vraiment trop, c'en est... à peine croyable.
Je fais une mine faussement surprise.
- Oh excusez-moi mon impolitesse, j'ai oublié de commencer par le BA-B.A, mon cher ami, moi c'est Andreas, Andreas Hasenberg, et vous ?
Je lui tends une poignée de main hypocritement chaleureuse.

Je ne lui serre pas la main
"désolé, je touche les mec de ton espèce, je veux devenir comme vous..des parasites.. "
Je le regarde
"je m'en fous comment tu t’appelle, je le sais déjà, dis moi, cette endroit, vous beaucoup ici"
j'ouvre le paquet de gâteau.

Le problème des cons dans ce genre, c'est que je ne peux pas détecter les mensonges, les vérités, car ils ne rentrent d'aucune manière dans mon jeux. Je vais devoir passer au plan B.
- Je me doutais bien que l'amabilité et les bonnes manières vous étaient étrangères, pour un humain, vous n'êtes pas très bien élevé. dis-je la voix sombre, feignant l'air déçu et détaché.

Je le regarde ouvrir le paquet de gâteaux.

Je le regarde, il est sérieux !, je m'énerve
" attention à ce que tu dis ! c'est vous les parasites, vous vous prenez pour des dieux alors que vous êtes juste des insectes "
Je mange un bout de gateaux..
"mais c'est dégueulasse votre merde là..."
Je bois mon fond d'eau
"bon, tu réponds à ma question fillette ! vous êtes combien ici, je commence à perdre patience, ta copine n'a rien voulut me dire, soit sympa, je le répéterais à personne, je le jure !"

Joshua reste calme. Fais le gars un peu rêveur, absent...
- C'est étrange cette façon de voir les choses. Des parasites ? Les parasites sont dépendant de leur hôte, les mutants n'ont pas besoin des humains pour exister, au contraire, nous évoluons sans vous. Vous faites beaucoup de bruit, vous parlez fort, vous dites vos menaces comme si vous n'aviez pas peur de nous. Hors vous puez la peur. Vous m'appelez fillette, insecte, réfléchissez à la situation dan laquelle vous êtes. Même la mort d'un insecte ferait verser plus de larmes que la votre .

Je me redresse et le toise. J'ai parlé doucement, sans énervement, sans cracher ma haine, mon dégoût. Je crois que ça va l'énerver et peut être pourrais-je en tirer quelque chose.

bah voilà..même les stupides peuvent s'énerver !!!
"et tu vas me faire quoi ? me tuer? Mais je t'en pris ! fais ça et tu vas débarquer des wagons de RMD, et vous allez tous dans nos belles prisons juste pour vous ! et là , on verra qui est l'insecte en cage ! "
Il se redresse
" tu es vraiment un pauvre type , je te parle de ta copine cela ne te fait rien mais je te parle des insectes que vous êtes et la fillette monte sur ses grand chevaux !! ils vous manquent vraiment une case en moins les mutants"
Je lui balance mon paquet de gateau à la tronche.
"soit gentil, va me chercher un truc bon à manger,et tu peux dire à ta copine de venir me voir, j'ai besoin de me détendre "

Sa dernière phrase me fait imploser.
Non Joshua, non. Tu as plus fort qu ce type. Tu vaux bien mieux que ça.
Je me penche vers lui. Un sourire menaçant sur les lèvres.
- Si quelqu'un savait que tu es ici, ou si tu avais bosser légalement, avec l'accord de tes supérieurs, alors tu aurais déjà eu des secours. Mais la vermine, le parasite ici, c'est toi. Tu es seul et tu lutte contre l'innévitable, tu n'as pas de vie alors t'essais lâchement de pourrir celle des autres. Je ne me salirais pas les mains sur ta sale gueule. On ne va pas t'offrir le repos d'une mort calme. Je vais veiller à ce que tu meurs lentement et dans des souffrances inimaginable. Mourir de soif ça te tente ? La douleur est tellement insupportable qu'n général la personne s'éclate la tête contre un mur et se tue.

Je lui pose doucement le paquet de gâteaux à côté de lui.
- Tu devrais profiter de ces gâteaux, parc que tu n'auras rien d'autres, quand à l’eau...
J'hausse les épaules, fais signe comme pour dire, je ne sais pas.
- Ça ne te tombera pas apparemment du ciel.

il me menace..bah voilà..
" Tu es sure fillette que tu as tout compris ? Et si justement, si je ne rentre pas dans les prochains, on va s'inquiéter, on va venir voir chez moi et on va trouver..comme par magie...une vidéo expliquant où je suis .. ne te crois plus futé que tu l'es fillette, tu n'es rien ! alors je t'en pris bute moi, mais après je vais rire dans ma tombe quand ils débarqueront ici ! "
Je le regarde dans les yeux
"moi je suis pas un dégonflé dans ton genre, alors maintenant soit gentil demande à ta pétasse de venir me rejoindre, je suis sûre qu'elle va me faire du bien !! soit un bon petit "
Et oui crétin échec et mat !!!

Je me mets à rire. Un rire comme s'il était vraiment drôle, comme une bonne blague. (j'ai bossé sur ce rire pendant deux ans alors je peux vous garantir qu'il semble naturel!)

- Excuse-moi mon gars, tu es tellement mignon avec ta frimousse de convaincu, oui, on voit bien que tu y crois que tu as gagné. Je suis teeellement désolé de te décevoir.

Je sors mon téléphone de ma poche et appelle Glove.
- Kitten ? Oui... pirate les fichiers de la police, je veux son nom et son adresse, le gros moche, oui... oui celui de ce matin. Oui si tu as des infos sur sa famille c'est parfait, je prends aussi ! ... Merci !

Je remets mon téléphone dans ma poche.
- 48h avant de signaler une disparition je crois nan ? Mon amie va mettre moins de 45 min pour me trouver les infos. J'ai hâte de voir ton intérieur. Il est beau ton appart ? Tu as des choses de valeur ?

Je reprends la corde, prêt à le rattacher.

IL se met à rire et Il appelle une personne...
" bien joué.."
je baisse la tête,
" et comment tu va récupérer la lettre .."
Je relève , le regarde
" Ce matin est partit une lettre, expliquant que si il n'a pas de nouvelle de moi dans les prochains jours c'est qu'il met arrivé quelque chose et que tout est dans enveloppe.."
Ne me prend pour un idiot, je ne serais pas venu ici, si je n'ai pas eu ou deux garantit...
" à oui, mon frère vit en Bretagne, tu sais complètement à l'opposer d'ici"

Je m'approche de lui incrédule. Il est vraiment teubé ou bien c'est une fausse piste ? Parce que là... là si c’est vrai il est vraiment trop m!ais trooooooop con !

- T'es vraiment con ou tu le fais exprès, parce que là, tu me facilites le travail, tu me dis ce que je dois faire et comment, donc tu as un frère, qui vit en Bretagne ? Merci mon gars. Tu sais je viens d'un autre continent alors la Bretagne, ce n'est pas loin, par contre la poste française est d'une lenteur incroyable. J'espère que ton frère fait du bon café noir, sans sucre, j'aime le café.

Je lui attrape le poignet pour le rattacher.

Je le regarde de haut,il m'attrape le poignet mais de mon autre mains je le frappe d'un coup de poing bien ferme. Il est étourdit !
" Tu m'excuse mais j'ai un travail à terminé !! je vais d'abord faire un tour, et je finirais par ta copine , tu crois qu'elle est pourrait se régénérer si la fait flamber !!"
Tu en parlant, j'ai détaché mes liens sur mon pied..Je fixe la porte et je me lève

Bordel le con !
Je le choppe par sa veste et le pousse contre un meuble, je nous fait tomber à terre. Je le maintiens au sol un genoux sur la trachée.
- Tu parles encore d'elle et je ne retiens plus mon blond, tu sais, celui que tu as voulu tuer ! L'humain... il est le plus dangereux de nous tous et rêve de te faire souffrir...
J n'ai plus de masque, ma colère est juste entrain de prendre le dessus.

Je me débat ,il appuit sur ma tranché je tatoone avec mes mains sur le sol, je sens quelque chose, je l'attrape, c'est un pot en verre, je le frappe avec..Le coup le fait me lacher.je retourne la situation.Je l'attrape par son tee shirt, et le met à terre., je me met au dessus de lui, j'attrape un des bout des gros bout de verre que je lui met sous la gorge
" c'est une bonne journée, j'ai eu ta copine et je vais avoir le copain.." je m'approche de son oreille, "je vais prendre mon temps avec elle, je te jure, en plus je suis sûre elle aime ça et toi comme d'habitude tu ne sera pas la pour lui sauver ces joles fesses !!!"
Je lève le bras , je vais lui planter dans la jugulaire à ce sale mutant

Je nous fais passer au travers le sol.